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Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction]

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Scar
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Messages : 5

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MessageSujet: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] EmptyMar 31 Jan 2023 - 9:14


Scar
Ft. Andy Biersack

Nom : Vaughn Prénom : Abriel Blair Surnom : Scar Âge : 32 ans Lieu de naissance : Clint City Occupation : Policier État civil : Célibataire Signes distinctifs : Un paquet de tatouages (pas autant que Havok, quand même!) et une énorme cicatrice partant de sous mon menton jusqu'au bassin, dont je n'aime pas tellement parler. J'ai une multitude de petites cicatrices sur le corps, souvenir de la fois où m'a mère m'a fait traverser la fenêtre de ma chambre, et parce que fermer un tiroir sur les doigts d'un enfant est une punition appropriée pour avoir réclamer de la nourriture qui n'existe pas et que je n'ai jamais mis les pieds à l'hôpital pour cette blessure, les os de mes doigts sont un peu de travers parce qu'ils se sont resoudés comme ils l'ont pu : j'ai l'habitude d'étirer mes doigts et les refermer régulièrement, car je les sens toujours un peu diffus

Je dirais que je suis juste bien content d'être en vie, en fait. J'ai toujours été plutôt taciturne et blasé, mais frôler la mort de justesse, ça vous replace un homme. Bon je suis encore bien en colère contre le système, on va pas se le cacher, et je crois que le monde va aller se crasher direct dans le mur le prochain mur, mais je dirais que maintenant, mon nihilisme a pris un accent caustique. Après tout, on va tous crever - et je vous dis en primeur que ce sera pas du beau - alors d'ici la fin, mieux vaut rigoler un peu. J'ai une animosité naturelle envers les poulets. Vous me direz que c'était pas la meilleure idée du monde d'en devenir un, et je vous dirai que vous avez bien raison. C'était pas exactement mon idée. On m'a laissé le choix mais, entre nous, c'était pas vraiment un choix. Rebelle de nature, je ne dois pas oublier que mon travail et les ententes que j'ai prises me forcent à faire preuve de retenue au quotidien. Mais vous pouvez être sûrs que chaque petite limite que je peux me permettre de repousser sans risque de perdre mon boulot, je vais la repousser, aussi innocente soit-elle.

En vrac
But my blue eyes cannot see that their real hue is probably red
I should keep records of these things and I'll know what yesterday brings


- Je suis un grand gaillard aux bras trop longs; 1m93 pour 68 kilos.
- Quand je ne travaille pas, j'ai une apparence plutôt intense. J'aime jouer avec les textures et les imageries provocantes ou déprimantes, maquillage, piercings.. Quand je me rends à la station, j'opte pour des vêtements plus sobres : pulls, t-shirts unis foncés ou de bands, jerseys de football, vestes de flanel, jeans et pantalons noirs, sans bijoux, ni maquillage (à l'exception des ongles, que je noircis au sharpie quand je suis coincé derrière un bureau et que je n'ai rien de mieux à faire).
- J'ai l'oreille gauche percée, ainsi que la narine droite et le labret gauche. Les trous sont encore ouverts malgré plusieurs années sans porter de bijoux.
- Je n'ai pas peur de prendre des coups ni de les rendre. J'ai toujours eu le poing plus facile que la parole. J'ai appris à me contrôler un peu mieux en prison, trouvant souvent moins compliqué de me faire éclater la gueule que de vivre avec les conséquences d'avoir éclaté la gueule d'un autre. Rire en pissant le sang à travers ses dents? C'est une de mes provocations favorites. Mais quand y a pas moyen de faire de l'évitement et que quelqu'un n'est pas ouvert à la discussion, je n'hésite pas un instant à y mettre du mien.
- Je fume. Quand on commence à 12 ans, c'est dur d'arrêter. J'ai cru que j'allais ralentir en prison, mais je me suis débrouillé pour être indispensable, et ne jamais manquer de rien. Par contre j'ai arrêté la drogue en prison.
- C'est un homicide involontaire qui a causé mon arrestation à 17 ans, mais ça a fait remonter une feuille de route impressionnante. Prostitution, possession, vente et consommation de drogues, vols (discrets ou à main armée), explosions de violence... Ça a fait en sorte que je sois jugé comme un adulte, le tout résultant en deux peines consécutives de 20 ans en prison. J'y ai passé 15 ans.
- Depuis ma petite marche de santé dans le désert, les seuls rêves que je fais prennent place dans un grand vide rempli d'un épais brouillard rougeâtre, dans lequel je peux entendre des sons de la vie de tous les jours sans jamais pouvoir les localiser où entendre clairement ce qui se passe ou ce qui se dit.
-



Je suis un survivant. Je me suis toujours battu, accroché, fais petit, fais plus grand : tout selon ce qui était nécessaire pour survivre dans un moment précis. Pour cela, on peut remercier ma mère, qui avait autant d'instinct maternel qu'un piège à ours. C’est donc sans surprise que lorsqu’une espèce d’alien/démon/blob fourchu m’a proposé de sauver ma peau dans le désert en échange d’un loyer dans mon corps (ou ma tête : encore à ce jour, je suis pas trop clair sur la mécanique de la chose), j’ai accepté, sans hésiter. Mais au moment où ça s’est passé, je dois admettre que j’aurais supplié pour qu’une âme charitable vienne m’achever, si seulement j’avais pu faire autre chose que hurler pendant qu’on me déchirait de la barbe au cul. Je crois que j’ai même essayé de prier. Mais j’ai perdu conscience bien avant de me souvenir comment on commence ça, une prière.

Comme je l’ai dit, la mécanique de la chose m’échappe encore. Comment je me suis retrouvé de faire l’étoile éventrée dans le sable à me réveiller dans des draps à essayer de reprendre mon souffle et me tâter le corps sans trouver d’autre trace de l’événement qu’une énorme cicatrice rose qui s’est prise pour la mer rouge en séparant mes tatouages en deux, je ne pourrais pas le dire. Combien de temps c’était écoulé entre ces deux points dans le temps? Bonne question. Je suis resté un moment à regarder avec de grands yeux le téléphone qui beuglait son alarme sur la table de chevet. Ce n’était pas à moi. Cette chambre n’était pas à moi. La dernière chambre que j’ai eue était partagée avec d’autres sales types, murs en béton, chiottes dans un coin, et le quatrième mur était fait de barreaux. Du lit où je me trouvais, je pouvais voir le soleil entrer par une grande baie vitrée, un espace cuisine et un petit espace salon. Définitivement pas la vue à laquelle je m’étais habitué dans les douze dernières années.

Quand j’ai finalement décider d’éteindre l’alarme du téléphone, j’ai trouvé un post-it dessus avec le mot de passe pour l’ouvrir. Dedans, un long message texte : « Ta journée au Sentinel station commence aujourd’hui. Toutes traces de tes crimes passés et de ton séjour en prison ont été effacées. Abriel Blair Vaughn est un homme libre, comme promis. L’appartement et tout ce qui s’y trouve t’appartient. Éclate-toi. » Après avoir lu ce message, mon aventure biblique dans le désert m’est revenue en mémoire.

La prison de Clint City avait un très gros problème de surpopulation. Vers la fin, on était à six dans une cellule, et si un transfert de masse n’avait pas été organisé vers une prison à l’étranger, je pense qu’on aurait fini comme un hôpital, avec les nouveaux détenus qui seraient confinés à des lits de camp dans le couloir. Mais on ne s’est pas rendu là. Au lieu de ça, notre avion s’est crashé dans le désert à l’ouest de la Montagne Dorée. La petite société que je voyais s’organiser parmi les survivants – et quelques face à face avec la faune locale – ont alerté mon instinct de survie : il fallait que je m’éloigne de là. J’ai un bon sens de l’orientation, mais un banc de sable, ça ressemble à un banc de sable. Je me suis perdu bien longtemps de revenir à la civilisation.

Je ne sais pas combien de jours j’ai marché avant de m’écrouler comme une vieille peau morte entre deux dunes. J’allais perdre conscience quand une ombre s’est soudainement placée entre le soleil et moi. Cette ombre, c’était l’Hôte 1686. Une créature qui ressemblait à une espèce de félin – ou un axolotl, ou les deux, si c’est possible – rouge sang avec beaucoup trop de bras, beaucoup trop d’yeux et beaucoup trop de dents. Quand il m’a dit pouvoir sauver ma vie, si j’acceptais de le prendre comme passager dans mon corps, je je me souviens lui avoir demandé si c’était le diable. « Est-ce que ça influencerait ta réponse? » qu’il m’a demandé. Non. Bien sûr que non. Je n’avais pas encore entendu la liste complète de ses conditions, la fin du contrat, que j’aurais accepté. J’étais à l’article de la mort et , au risque de me répéter, car c’est un point majeur de mon identité : je ferais n’importe quoi pour survivre. Si ma mère n’était pas déjà morte, je la pousserais devant un bus si ça pouvait sauver ma vie – et j’ajouterais même : avec plaisir!

Ce que le contrat m’apportait? Le plus important : ne pas mourir comme un ver de terre desséché qui a traîné trop longtemps sur l’asphalte après une averse. Un départ à neuf. Mon casier judiciaire, mes photos, mes empreintes dans le système, toutes traces de mon passage dans les tribunaux et de mon trop long séjour en prison : effacés.

Ce que le contrat impliquait pour moi? M’infiltrer confortablement en tant que flic dans le Sentinel et conserver le statu quo. Pourquoi? Aucune idée. Et bien franchement, aucun intérêt. J’aurais pu protester parce que, franchement, je déteste les flics, mais mes lèvres craquées m’auraient empêché d’émettre mes objections. Mais si tout ce que j'avais à faire pour survivre, c'était jouer aux gendarmes et aux voleurs? Soit! Et finalement, lorsque requis, je devrais céder les rênes de mon corps à mon Hôte. Et bien sûr, les petits caractères : le processus qui marquerait le début du contrat serait le moment le plus douloureux de mon existence.

Le truc! Il dit ça au type dont la peau se fissure carrément carrément de sécheresse et qui s’est fait malmener toute sa vie. L’entièreté de mon existence m’avait préparé à ce moment. J’étais prêt.

Je n’étais pas prêt.  

Réputation
J'espère bien qu'elle ne m'a pas suivi! Après tout, si tout mon dossier criminel et les traces de mon passage en prison ont été effacés, ma plus grande peur en me pointant pour prendre mon poste était que l'officier m'ayant arrêté reconnaisse ma tête. Ou même juste quelqu'un de mon passé. Heureusement pour moi, l'officier qui m'a arrêté semble avoir levé le camp, et si j'ai laissé des marques sur quelqu'un dans ma vie personnelle, ça ne doit pas être du monde qui a envie d'attirer l'attention sur eux. Jusqu'à maintenant, je constate qu'on ne m'avait pas menti à propos de cette carte blanche!
Ambition
Je ne suis pas né dans un milieu qui m’autorisait à croire en l’avenir. Je suis déjà beaucoup plus loin que j’aurais cru me rendre : j’ai un emploi qui s’annonce stable (on pourrait dire que j’ai l’ambition de ne pas le perdre), pour la première fois de ma vie je suis capable de vivre au lieu de survivre (même si ce combat ne s’arrête jamais) et je n’ai pas à me plaindre de choses plus importantes que les règlements stupides que je dois honorer au travail. Alors au risque de paraître ennuyeux : non, pas d’ambitions pour moi. Un pied devant l’autre, un jour à la fois.
Aime/aime pas
- J'ai toujours aimé la musique quand j'étais jeune. J'ai profité du temps passé en prison pour découvrir que j'avais de la voix, et appris à jouer du piano à l'aide de bouquins théoriques et d'un clavier dessiné sur un grand morceau de carton. Mon salaire de policier ne me permet pas de m'acheter un piano, mais chaque fois que je trouve un lieu public à "piano ouvert", je prends le temps de m'arrêter. J'aime également participer à des jam sessions : les bars qui l'offrent sont ceux que je préfère, ce que je n'aurais pas cru avant mon incarcération. À la maison, il y a presque toujours de la musique qui joue.
- J’aime lire et apprendre des choses nouvelles, mais ma relation avec l’école a été très mauvaise. C’était déjà difficile à l’école régulière parce que j’avais de la difficulté à socialiser avec les autres enfants et que j’étais souvent absent – les professeurs ne pensaient pas que je les prenais au sérieux – mais ça a empiré quand j’ai eu la (mal)chance de passer sous le radar d’une travailleuse sociale qui m’a fait intégrer, à quinze ans, un programme visant à intégrer des jeunes de milieux défavorisés dans des écoles privées, pour voir comment un environnement positif leur permettait de s’épanouir. Dans mon cas : pas du tout. Mon absentéisme était déjà très élevé, mais c’est de là que j’ai décroché pour de bon. J’ai pas suivi l’actualité pour voir si le programme avait fonctionné pour d’autres.
- J’ai un faible pour les gens abîmés. Je ne suis pas dans le Sentinel depuis longtemps, mais quelques jours seulement sur le siège avant d’une voiture de police m’a permis de voir le genre de travail que je veux accomplir en uniforme – quand je le porte – et le genre de policier que je ne voudrais jamais devenir. Le terme « à risque » s’est appliqué longtemps – et s’applique encore – à moi et à patrouiller les rues, mon œil se porte naturellement sur les lieux, les situations et les individus qui viennent tirer sur cette corde. J’essaie de rendre mes interventions productives avec ces personnes et de rediriger leur énergie vers quelque chose de positif qui va les interpeller : pas un séjour dans une école de yuppies, mais plutôt des choses qui font appel à leurs intérêts, leur débrouillardise et leur créativité.  
- Je n'aime pas parler de ma cicatrice, mais elle est difficile à cacher et fait énormément parler autour de moi. Il n'aura fallu qu'une journée à la Station pour que, dans un grand élan d'originalité, mes nouveaux collègues me surnomment Scar.
- Je ne suis pas l’individu le plus sociable qui soit : je trouve plus de satisfaction dans la solitude que dans les échanges avec autrui, mais je suis capable de prendre ma place et je sais utiliser mon sourire. Avant de commencer mon séjour en prison, je n’étais pas ce qu’on pouvait appeler le choix numéro 1 des filles. La grande asperge au fond de la classe, les cheveux noirs dans les yeux, le maquillage et les tatouages, ça n’attirait pas grand monde. À ma sortie toutefois, je constate un effet de mode qui fait que les regards se tournent naturellement sur moi. Apparemment de nos jours, les grands ténébreux tatoués ont la cote. Je vais pas me plaindre : je suis en circulation depuis un mois à peine et je peux dire que le nombre de mes conquêtes a augmenté de façon exponentielle.
Craintes
- Même si les chances sont minces après tout ce temps, à chaque coin de rue j’ai peur que quelqu’un me reconnaisse et que tout ce que j’ai présentement ne me glisse entre les doigts. Il m’arrive aussi souvent de me réveiller désorienté, en sueurs et à bout de souffle sans que je sache réellement pourquoi, le plus souvent suivant un de ces rêves embrouillés.
- Ayant passé beaucoup de temps dans un tiroir étant petit, je considère normal d'avoir peur de manquer d'air. Parfois j'oublie de respirer et quand je m'en aperçois, j'ai toujours quelques secondes de panique à essayer de retrouver mon air et un rythme cardiaque normal.
Bonus : trucs que Scar ignore
- Il croit que l'hôte va lui demander la permission avant de prendre le contrôle de son corps : du coup pour la peine, il se croit plutôt peinard vu qu'il lui a jamais rien demandé. En réalité, l'hôte a pris le contrôle à plusieurs reprises depuis le début de cette relation parasitaire.
- Abriel vit dans un petit studio bien peu garni à l’avant-dernier étage d’une tour à logements et ignore qu'il possède en réalité les deux derniers étages de l'immeuble : derrière un pan de mur de son walk-in se trouve une porte blindée donnant elle-même sur un immense penthouse de deux étage pas mal moins miteux.
-


Âge : La trentaine
Crédits images : Myself pour les avatars. Le gif vient de Falling. sur Tumblr.
D'où viens-tu? Québec
Comment as-tu connu le forum? J'étais au courant de sa création. Je ne pensais pas me joindre à l'aventure mais quand j'ai entendu dire que le forum peinait à gagner des membres, je me suis dit bon allez! On s'y remet!
Questions, commentaires, cri du coeur? Je ne parlerai pas sans mon avocat!


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MessageSujet: Re: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] EmptyMar 31 Jan 2023 - 9:21

😯😯😯😯😮😮😮😮😮😮😀😀😀😀😀

Is it really you my lovely?
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MessageSujet: Re: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] EmptyMar 31 Jan 2023 - 9:36

Chut! Le dis pas trop fort!

On m'a dit que le bébé avait du mal à starter. Je suis venu aider.  Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] 1f608

#paspurésister

Le Polit aime ce message

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MessageSujet: Re: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] EmptyMar 31 Jan 2023 - 11:42

J'ai bien hâte de voir ce que tu nous réserves! :3
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MessageSujet: Re: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] EmptyMer 1 Fév 2023 - 6:54

Heads up! J'ai pas mal écrit, mais je te déconseille de prendre de l'avance sur la lecture : je me trouve décousu, donc je vais sûrement repasser sur tout et changer pas mal de choses.

Et je te mp pour les clans non jouables que je mentionne dans ma fiche. Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] EmptyLun 13 Fév 2023 - 7:00

Dis, tu nous oublies pas, hein? bounce bounce bounce bounce
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MessageSujet: Re: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] EmptySam 18 Fév 2023 - 8:59

J'oserais jamais! affraid

Je suis juste un peu pris. Mais je mijote encore tout ça. <3

Elvira aime ce message

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MessageSujet: Re: Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Abriel B. Vaughn aka Scar [en construction] Empty

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